Depuis quelques années déjà, la gente féminine a envahit la Kup.
Elles sont plusieurs chaque année a fouler la pelouse du Pont-de-l'Arn aux côtés des garçons pour tenter elles aussi de remporter le trophée.
Mais ne vous y trompez pas! Ces filles là ne sont pas à prendre à la légère. Joueuses de D1 ou de D2 française, elles passent plus de temps sur les terrains de foot que bons nombres de garçons présents chaque année à la Mazamet Kup. Méfiance donc à ceux qui pensent encore que les filles ne savent pas jouer au foot. Un petit pont ou un sombrero est si vite arrivé. Audrey Monicolle (Muret, D2), Céline Escoubeyron (Muret, D2) ou Marie-Pierre Castera (TFC, D1, sur la photo) viennent à la Kup pour y mettre de l'ambiance. Elles nous l'ont promis: "Il va y avoir du spectacle!".
Elles sont plusieurs chaque année a fouler la pelouse du Pont-de-l'Arn aux côtés des garçons pour tenter elles aussi de remporter le trophée.
Mais ne vous y trompez pas! Ces filles là ne sont pas à prendre à la légère. Joueuses de D1 ou de D2 française, elles passent plus de temps sur les terrains de foot que bons nombres de garçons présents chaque année à la Mazamet Kup. Méfiance donc à ceux qui pensent encore que les filles ne savent pas jouer au foot. Un petit pont ou un sombrero est si vite arrivé. Audrey Monicolle (Muret, D2), Céline Escoubeyron (Muret, D2) ou Marie-Pierre Castera (TFC, D1, sur la photo) viennent à la Kup pour y mettre de l'ambiance. Elles nous l'ont promis: "Il va y avoir du spectacle!".
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