Cette année, la Mazamet Kup n'aura pas la chance de voir évoluer Mr Alexis Bernard. Et pour cause, son travail (Journaliste au "10 Sport") l'oblige à partir en Afrique de Sud pour couvrir la Coupe du monde de football. Le veinard! Mais il a tenu a laissé un message à tous ceux qui fouleront la pelouse du Pont-de-l'Arn samedi prochain. Quelques mots sympathiques avec, comme toujours, une pointe d'ironie et d'impertinence. Sacré Alex!Le Blog: Alexis, tu seras absent cette année. Quel message souhaiterais-tu faire passer aux joueurs de l'édition 2010?
Alexis Bernard: De prendre autant de plaisir que j'ai pu en avoir lors des trois dernières éditions auxquelles j'ai eu la chance de participer. Oui, je pense être un incontournable de cet événement mais je demande à tous mes camarades de prendre le relais. Sportivement, je sais que ce sera difficile. Voire impossible. Mais la Mazamet Kup est avant tout un moment de convivialité et de solidarité. Dans ce domaine, tout le monde peut apporter. Même les moins doués d'entre nous. Et je ne veux surtout pas pointer du doigt des gens comme Lionel Mader ou James 'Momo' Cheblaoui qui font énormément pour la Kup. Ce n'est pas mon genre.
LB: Quel est ton meilleur souvenir de la Kup?
AB: Juin 2007. Ma première Kup. Un peu perdu, je rentre sur le terrain pour m'échauffer. Je lève les yeux et découvre mes partenaires. Présentation, sourires, ambiance Kup et puis la rencontre. Patrick F. Un fou... Un coup de foudre, surtout. Qui m'a donné envie de revenir l'année d'après, puis l'année d'après, puis...
LB: Quel est ton moins bon souvenir ?
AB: Une demi-finale en 2009. Une erreur d'arbitrage... J'ai encore aujourd'hui du mal à l'évoquer car ça reste une douleur assez vive. Les enfants comptaient sur moi et sur la victoire de mon équipe, l'une des plus compétitives que la Kup ait pu proposer. Se faire "voler" pour une soit-disant main en dehors de la surface. Je ne l'ai jamais accepter. Mais l'important, c'est l'argent qu'un Maillot pour la vie avait pu récolter cette année-là.
LB: Pourquoi apprécies-tu cet évènement?
AB: Parce qu'il réussi à être unique et authentique. Je n'apprécie guère les populations du Sud de la France mais je dois dire que ces 'Komedos' sont très très forts. Ils réunissent des gens de la France entière, par amitié, par solidarité et avec l'envie d'être ensemble, tout simplement. C'est juste fabuleux.
LB: Penses-tu que tu pourras gagner la Kup un jour?
AB: C'était prévu pour cette année. Je m'étais préparé en conséquence en m'entraînant avec des joueurs de bas niveau pour ne pas être surpris, comme chaque année. Il est vrai que devoir échanger le cuir avec Frédéric Raignault, Georges Quirino-Chavez ou Patrick Martinez nécessite un entraînement préalable. Je m'étais également renseigné sur la météo... Bref, tout était parfait mais malheureusement, ce ne sera pas pour cette année. Rendez-vous en 2011, sans faute !
Alexis Bernard: De prendre autant de plaisir que j'ai pu en avoir lors des trois dernières éditions auxquelles j'ai eu la chance de participer. Oui, je pense être un incontournable de cet événement mais je demande à tous mes camarades de prendre le relais. Sportivement, je sais que ce sera difficile. Voire impossible. Mais la Mazamet Kup est avant tout un moment de convivialité et de solidarité. Dans ce domaine, tout le monde peut apporter. Même les moins doués d'entre nous. Et je ne veux surtout pas pointer du doigt des gens comme Lionel Mader ou James 'Momo' Cheblaoui qui font énormément pour la Kup. Ce n'est pas mon genre.
LB: Quel est ton meilleur souvenir de la Kup?
AB: Juin 2007. Ma première Kup. Un peu perdu, je rentre sur le terrain pour m'échauffer. Je lève les yeux et découvre mes partenaires. Présentation, sourires, ambiance Kup et puis la rencontre. Patrick F. Un fou... Un coup de foudre, surtout. Qui m'a donné envie de revenir l'année d'après, puis l'année d'après, puis...
LB: Quel est ton moins bon souvenir ?
AB: Une demi-finale en 2009. Une erreur d'arbitrage... J'ai encore aujourd'hui du mal à l'évoquer car ça reste une douleur assez vive. Les enfants comptaient sur moi et sur la victoire de mon équipe, l'une des plus compétitives que la Kup ait pu proposer. Se faire "voler" pour une soit-disant main en dehors de la surface. Je ne l'ai jamais accepter. Mais l'important, c'est l'argent qu'un Maillot pour la vie avait pu récolter cette année-là.
LB: Pourquoi apprécies-tu cet évènement?
AB: Parce qu'il réussi à être unique et authentique. Je n'apprécie guère les populations du Sud de la France mais je dois dire que ces 'Komedos' sont très très forts. Ils réunissent des gens de la France entière, par amitié, par solidarité et avec l'envie d'être ensemble, tout simplement. C'est juste fabuleux.
LB: Penses-tu que tu pourras gagner la Kup un jour?
AB: C'était prévu pour cette année. Je m'étais préparé en conséquence en m'entraînant avec des joueurs de bas niveau pour ne pas être surpris, comme chaque année. Il est vrai que devoir échanger le cuir avec Frédéric Raignault, Georges Quirino-Chavez ou Patrick Martinez nécessite un entraînement préalable. Je m'étais également renseigné sur la météo... Bref, tout était parfait mais malheureusement, ce ne sera pas pour cette année. Rendez-vous en 2011, sans faute !
Malgré son absence, Alex (dit "Le petit") a tenu à participer à la Mazamet Kup à sa façon en remettant un chèque de 25€ à l'association "Un Maillot Pour la Vie". Merci Alexis
2 commentaires:
J'en ai la larme à l'oeil.
Quand je pense que moi non plus je peux pas être là...
Pourtant j'étais en forme (au bar j'entends pour ceux qui n'auraient pas mon magnifique volume de jeu en mémoire...)
Je te fais un poutoux sur ton keket Alex...
Et la bise à tous les Komedos...
Bisous sur keket reçu !
Renvoyé (avec le coup de langue sur... le lob)
Axel
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