Le coup d'envoi de la Mazamet Kup 2012 a été donné hier soir à l'occasion du tirage au sort des équipes au sein du complexe BonitoFoot de Colomiers. Récit d'une soirée très conviviale...
Il y a d’abord eu un match. Un sacré match! Les
Komedos (Lionel Mader, Sebastien Landes, Patrick Martinez, Brice Etienne et Romain
Amalric) renforcés de Christophe Kempé, parrain de la Kup 2012, et James Postigo,
DJ officiel, face à une équipe mixte. Cette dernière étant composée de deux joueuses
de l’AS Muret (Audrey Monicolle et Céline Escoubeyron), d’anciennes gloires du
football (Guillaume Carayol et Guillaume Ramelet), de Julien Traineau, dont on
ne se risque pas à émettre un avis, et de Damien Couturier, parrain treiziste de
la Kup, seul joueur dont les performances footballistiques valaient bien
plus que leurs promesses…
Une rencontre très engagée, très
disputée, au niveau élevé, même si beaucoup de buts ont été rapidement
catalogué de « raccrocs », mais dont on ne sait plus très bien qui
l’a emporté – Mais quel est le con qui a dit : « le premier qui marque a
gagné ? » - et c’est mieux
ainsi.
Il y a eu ensuite ce moment solennel
où l’on sent bien que toute la France du football retient son souffle. Et surtout ceux qui ont prévu d'être sur le pré samedi. Chaque
joueur inscrit à la Kup se pose les mêmes questions : Quelle couleur de
maillots ? Quelle équipe ? Quels coéquipiers ? Suis-je avec
Dieuze ?... On pouvait d’ailleurs aisément lire dans les yeux des personnes
présentes combien ce moment, véritable starter de l’évènement, était fatidique,
viral, crucial. En témoigne les deux girafes de bières qui n’ont pas vraiment
eu le temps de se réchauffer.
Les organisateurs ayant été
régulièrement et injustement accusés de tricheries ou arrangements les années
précédentes, il paraissait évident de faire le tirage 2012 en public et
notamment en présence de Jean-Loup Barthélémy, principal inquisiteur. Privilège
lui a même été donnée de participer à ce tirage en jouant la main
« innocente » pour les joueurs du chapeau 3.
Au moment du verdict, plusieurs sms
et mms ont volé dans les airs, surement à destination d’autres protagonistes, Puis, après une dernière gorgée de bière, l’assistance présente s’est chaleureusement
dit au revoir, et surtout « à samedi ». Ou « à vendredi au
Jennyway » pour les amateurs de foot et de musique. James Postigo a bien
tenté une veillée en balançant quelques boutades. Mais les sportifs de
haut-niveau ont une hygiène de vie parfaite et des heures strictes de coucher que les oiseaux de nuit ne peuvent comprendre...
Et puis surtout, samedi, « ya macht ! ».
On boit un coup, on discute, mais samedi, c'est compet' |
1 commentaire:
main innocente?????
Enregistrer un commentaire