Romain, le chef d'orchestre

En amont de la Mazamet Kup, le Blog rencontre les acteurs de l'évènement.

Depuis 4 ans, Romain Amalric, le président de l'association 'Komedos' est le principal responsable de la Mazamet Kup. Exilé à Nice, ce natif de Mazamet apprécie de revenir dans son pays pour y retrouver ses amis. L'association 'Komedos', dont il est à l'origine, lui permet de mettre en place des projets sportifs ou culturels dans le bassin mazametain. Organisateur autant que participant, il souhaite avant tout que la Mazamet Kup reste une journée de fête. Une manifestation conviviale placé sous le signe de la solidarité.

Le Blog: D'où te vient cette énergie pour organiser un tel évènement?

Romain Amalric: "C'est avant tout du plaisir. Créer des évènements qui rassemble les gens, je trouve cela intéressant, d'autant plus si c'est pour une bonne cause. Cette année encore, de nouvelles personnes, de nouveaux univers vont se croiser sur la pelouse de la Croix Rouge. Les participants viennent aussi bien de Toulouse ou Mazamet que de Nice, Paris, Saint Tropez ou Laval. Mon principal objectif, c'est que les gens repartent avec le sourire en nous demandant de ne pas les oublier pour les invitations l'année prochaine."

Blog: Qu'est-ce qui fait que la Mazamet Kup est unique?

R.A.: "Le concept est original, les joueurs sont invités individuellement et non pas en équipe. C'est nous qui constituons les équipes par tirage au sort. Et pour que les équipes soient équilibrés, nous avons mis en place un système de chapeaux de niveau. Cela permet un vrai mélange de style. Et puis la Mazamet Kup, c'est aussi des gens qui font la fête au profit d'une bonne cause. C'est un plaisir d'être associé avec l'association 'Un Maillot pour la Vie' qui soutient les enfants malades et qui a un réel lien avec le mouvement sportif."

Blog: Plus personnellement, tu n'as jamais eu l'occasion de brandir le trophée de la Mazamet Kup. Est-ce que cette année sera la bonne?

R.A.: "Je suis un compétiteur, je ferais au mieux. Mais tout l'art de cet évènement réside dans le fait que l'on ne peut jamais être sûr de gagner. Il n'y a pas de favori puisqu'il n'y a pas encore d'équipes. J'espère juste qu'avec mes coéquipiers, nous allons rapidement constituer une formation soudée et efficace. Et qu'ils soient rassurés, je n'ai rien perdu..."